socioeduc

La journée « Le socio c’est pas d’la tarte »

Le mercredi 29 mai, l’ensemble des membres du personnel de l’action socio-éducative se sont réunis pour une journée axée sur la présentation des services les uns aux autres.

Par animation de +/- 30 minutes chaque service a présenté de manière ludique ses membres, ses objectifs et ses missions.

La découverte, la connaissance, la naissance de partenariats, le partage de compétences, le réseautage interne étaient les maîtres mots de la journée.

Merci à tous pour l’enthousiasme, la convivialité et l’entrain.

Merci à la cuisine pour le barbecue.

J&S

  • Festival : Jeunesse & Santé organise un festival ouvert à tous le 24 août 2019. Une scène où se succèdent des musiciens amateurs volontaires à Jeunesse & Santé, un DJ pour assurer les transitions musicales, un espace associatif, un espace "enfants" avec animations & grimages et un camping pour passer la nuit sans inquiétudes! >>Préventes sur : https://www.facebook.com/events/1223237154517433/
  • Plaines : il reste de la place dans les plaines de Ham-sur-Heure, Soignies, Thirimont, Sautin, Erquelinnes et Baileux.
  • Séjours : il reste quelques places pour le séjour écologie à la mer et pour les ados aux séjours théâtre à Avignon, aventure à Formiguères et sportif à Thuin.

Promusport

  • Retour de la clôture JCPMF de ce dimanche 23 juin 2019

L’asbl Promusport et la Mutualité chrétienne ont réuni les différents participants de leurs sessions JCPMF.

Objectif : passer les brevets de niveau 1, 2 et 2+ dans un esprit convivial. 

Plus de 120 personnes se sont lancées sur les parcours de 5, 10 et 15 km dans les rues d’Anderlues. 

Après tous ces efforts chacun a pu déguster un apéro bien mériter sous un soleil estival. 

>> Rendez-vous fin août pour découvrir le programme des sessions d’Automne sur le site de Promusport : www.promusport.be

La Bulle

  • 19/06 : le centre de Chimay était présent à la fête de fin des examens dans la ville de Chimay.
  • 29/06 : soirée plage à Frasnes. L’équipe du centre de Chimay organise un stand de sensibilisation pour la réduction des risques en partenariat avec d’autres services.
  • 14/07 : Bike For The Life, l’équipe du centre de Thuin sera présent à la course cycliste à l’attention des personnes atteintes du cancer à Thuin. Un stand y sera disposé avec plusieurs infos et missions du centre de 9h00 à 13h30.

Altéo

> Infos pratiques

> Infos pratiques

Énéo

  • 25/07 : excursion à Bouillon et environs - 60€ (membres Enéo)
  • 08/08 : excursion à la Mer du Nord - Coxyde - 20€ (membres Enéo)

>> infos pratiques :  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 071 548 408

Coopération internationale

12eme Brocante de la solidarité le dimanche 04/08 sur le parking de la MCHO Anderlues

  • Bar, petite restauration et Toilettes
  • 2,50 €/mètre à réserver au 0495 597 096 après 16h ou via

Qualias, SOLDES d'été !

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L'équipe du socio-éducatif & asbl

alteo

Au départ l’idée de constituer une bibliothèque Altéo est née des membres du groupe Charlemagne, dont la réflexion porte sur la scolarité des enfants et adolescents handicapés.

Les tout premiers livres et revues achetés ont été liés directement au handicap dans une perspective d’intégration scolaire pour les enfants handicapés ; en voici quelques titres :  « Le handicap, une chance pour l’école », « L’intégration collective des jeunes enfants », « Pour les enfants polyhandicapés , une pédagogie innovante »…

Une revue qui intéresse tout particulièrement les membres du groupe Charlemagne est « La Nouvelle Revue de l’Adaptation et de la Scolarisation », éditée par l’Institut national supérieur de Formation et de Recherche pour l’Education des Jeunes Handicapés et les Enseignements adaptés, à Suresnes, en France. On y retrouve des titres très instructifs, tels que :

-        Dispositifs innovants de l’école inclusive

-        Handicap : l’école, et après… ? Ruptures et continuité des parcours.

-        Surdités, langue, culture, identité : recherches et pratiques

Ce qui est pratique dans ces numéros, c’est que leur sommaire renferme divers textes de plusieurs pages, tous plus utiles les uns que les autres, textes que les membres du groupe Charlemagne lisent, analysent, commentent et conseillent à d’autres, aux parents mais aussi aux enseignants et aux directeurs d’école, en recherche de documentation, rare dans le domaine de la scolarisation des enfants à besoins spécifiques. 

La bibliothèque Altéo ne contient pas que des ouvrages traitant de l’intégration et de la scolarité des enfants et adolescents handicapés, mais aussi du handicap ou de la maladie en général. Au total, nos acquisitions se chiffrent à + de 100 titres, regroupant des romans, des autobiographies, des livres philosophiques …

La bibliothèque d’Altéo, mode d’emploi :

Les livres actuellement disponibles peuvent être loués pour un mois aux membres Altéo des 3 régions Hainaut Picardie pour 0,30 € (après le 1er mois, : c’est 0,50 €)

Aux non- membres Altéo : c’est 0,50 € par mois (avec un maximum de 3 mois)

Pour les retards : c’est 0,10 € par jour (pour les membres et pour les non-membres Altéo)  

Pour obtenir la liste, demander un prêt ou un renseignement, veuillez contacter Fabienne Boudart, animatrice, au 065/ 40.26.36. ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

sevf2019

Namur - 2, 3 et 4 juillet 2019.

Aujourd’hui, un peu partout, des femmes se réunissent et s’investissent : certaines au sein d’un service d’accueil de l’enfance, d’autres lors d’un rendez-vous régulier autour d’une activité, d’autres dans une formation ou pour construire un projet, d’autres encore le temps de mener une action ou plus longuement dans un atelier… et de mille autres façons ! Elles s’investissent, elles s’engagent, elles partagent leur temps…

Certaines se disent féministes, d’autres non. Il s’agit le plus souvent d’engagements de proximité, mais portés par des motivations très différentes. Le lien social y occupe une place importante, alors même que notre société cherche plutôt à diviser, à isoler et à précariser. Cela veut sans doute dire quelque chose !
À travers ces engagements, les femmes révèlent des pratiques, des savoir-faire et des savoirs qui soutiennent et rendent plus fortes. Des pratiques et des savoirs qui ne sont pas toujours reconnus à leur juste valeur, qui semblent même parfois invisibles, alors que, à leur niveau, ils peuvent changer la vie des femmes.
Lors de cette Semaine d’étude 2019, ce sont à ces pratiques et savoirs que nous voulons rendre hommage. Des pratiques et savoirs qui nous renforcent là où nous sommes et qui, à leur manière, sont des leviers pour changer le monde dans lequel nous vivons et construisent l’« Éducation Permanente Féministe ».

La Semaine d’étude de Vie Féminine, c’est 3 journées riches de rencontres et d’échanges (en ateliers ou en plus grands groupes) entre toutes les actrices du mouvement et avec des invité·es, du temps pour s’exprimer, créer et découvrir, pour se faire plaisir et pour partager la force d’être ensemble. Rendez-vous donc à Namur pour affirmer que nous sommes fortes et que nous pouvons en être fières !

* On galère, on galère… Mais on n’va pas se laisser faire !

Plus d'infos : http://www.viefeminine.be/spip.php?rubrique721

À la veille des élections cruciales de ce dimanche 26 mai, le Mouvement ouvrier chrétien tient à rappeler la priorité absolue que doit être la sauvegarde et le redéploiement de notre modèle de sécurité sociale.

En effet, la poursuite de la politique menée depuis quelques années par les gouvernements successifs signifierait le démantèlement de la sécurité sociale, la réduction du rôle des partenaires sociaux et de la santé dans sa gestion, une concertation sociale paralysée, de nouvelles diminutions des cotisations patronales, une réduction des droits et du degré de couverture qui rapprocherait notre sécu du modèle de l’assistance. Prolonger cette politique aurait pour conséquence de délégitimer le système au profit d’une privatisation de la couverture des risques non solidaire et beaucoup plus coûteuse pour les personnes.

Le MOC tient donc à rappeler ce qui devrait être une évidence pour toutes et tous : la sécurité sociale est un patrimoine commun conquis par le monde du travail pour sécuriser le parcours de vie de tout un chacun. Il est urgent de stopper la régression sociale actuelle et de redéployer notre sécurité sociale.

C’est pourquoi le MOC formule quelques propositions clés à l’attention du monde politique:

-        Le relèvement des minima sociaux au seuil de risque de pauvreté ;

-        La fin de la dégressivité accrue des allocations de chômage et de la limitation dans le temps à l’encontre des jeunes ;

-        La suppression du statut de cohabitant·e, qui pénalise davantage les femmes ;

-        La suppression des suppléments d’honoraires pour les hospitalisations en chambre individuelle ;

-        Le retour de l’âge légal de la pension à 65 ans, en offrant des aménagements de fin de carrière qui permettent de sauvegarder la santé des travailleur·euse·s.

Pour ce faire, une véritable concertation sociale doit être renouée entre le gouvernement fédéral et les partenaires sociaux, dans le cadre de la gestion paritaire de chacune des branches actuelles de la sécurité sociale et de la gestion financière globale.

Aussi, un financement stable doit être restauré suivant des règles correctes de fixation des dotations. La sécurité sociale ne peut en effet servir de variable d’ajustement du budget de l’État. L’alternative consiste à retrouver le chemin d’une fiscalité plus juste en menant des réformes fiscales qui fassent contribuer l’ensemble des revenus de façon équitable au financement des fonctions collectives. Pour le MOC, les cotisations sociales doivent rester le mode de financement principal de la sécurité sociale dans son ensemble. Il s’agit donc de restaurer les taux de cotisations patronales d’avant taxshift et de restructurer les réductions préexistantes des cotisations patronales lorsqu’elles s’avèrent dispendieuses vu leur faible efficacité pour l’emploi. La solution passe notamment par un financement complémentaire et pérenne via une « cotisation sociale généralisée » (CSG) sur l’ensemble des revenus des particuliers et des entreprises, contribuant à rendre le financement plus équitable et plus favorable à l’emploi.

Pour le MOC, c’est à ces conditions qu’il est possible de redonner un élan à notre système de sécurité sociale, en lien avec les réflexions menées aujourd’hui autour d’un nouveau Pacte social et écologique. Sans quoi, les partis les plus à droite de l’échiquier politique n’hésiteront pas à œuvrer à sa privatisation, ce qui signifierait la fin d’un modèle social et solidaire, socle de notre démocratie.

Ariane ESTENNE,
Présidente du MOC

Nicolas ROELENS

Attaché de presse | Mouvement Ouvrier Chrétien | www.moc.be

Rédacteur en chef de Démocratie | www.revue-democratie.be

Tél : 02 246 38 10 | GSM : 0485 89 83 95 | Chaussée de Haecht, 579 | 1030 Schaerbeek

Manifestation 280419 FR 002

Régularisation de séjour: la violence d’une non politique

Environ 150.000 personnes vivent sans papiers en Belgique. Des hommes, des femmes, des enfants. Nos voisins, collègues, amis, camarades de classe…  Vivre sans-papiers, c’est être exclu de la plupart des droits. C’est vivre dans une situation de précarité sociale constante. C’est devoir accepter n’importe quelles conditions de travail pour n’importe quel salaire. C’est mettre sa vie entre parenthèses, sans pouvoir se poser, se projeter, faire partie de la société. C’est vivre sans vivre, être là sans être là. C’est vivre dans la crainte de croiser la police, même quand on n’a commis aucune infraction, et même quand on est soi-même victime d’abus. C’est faire l’objet d’une violence inouïe. Or, on ne construit pas une société juste sur base de violence, d’exclusion et de précarité. Une vision radicalement différente des migrations, fondée sur l’égalité et les droits, est dès lors indispensable.

Comment devient-on « sans-papiers » ?

Une multitude de situations peuvent amener des personnes à se retrouver « sans papiers ».

On citera celle des personnes en besoin de protection internationale mais qui, mal informées ou mal accompagnées par les autorités, n’osent pas demander l’asile. D’autres l’ont demandé, mais n’ont pas réussi à convaincre les instances belges du risque de persécution auquel elles font face.

Il y a des personnes venues travailler en Belgique munies d’un permis de travail qui, suite à un différend avec leur employeur, ont perdu leur emploi et donc leur titre de séjour. Des personnes venues dans le cadre du regroupement familial, et qui ont perdu leur droit au séjour suite à une séparation ou à des violences conjugales. Des étudiants internationaux qui n’ont pas validé suffisamment de crédits au cours de l’année écoulée ou qui, simplement, arrivent au bout de leurs études sans avoir trouvé de travail assez vite.

Il y a enfin celles et ceux qui ne rentrent dans aucune catégorie tant la politique migratoire actuelle est restrictive et qui, dans l’impossibilité de rentrer chez eux, n’introduisent aucune demande de peur de se signaler aux autorités.

Régularisation et arbitraire, une union pour la vie ? Pas forcément…

A l’heure actuelle, la loi du 15 décembre 1980 - qui règlemente l’accès au territoire et le séjour en Belgique - prévoit déjà la possibilité d’être régularisé lorsque « des circonstances exceptionnelles » empêchent le retour dans le pays d’origine pour introduire une demande de visa. Mais ces circonstances ne sont pas définies par la loi et sont laissées au pouvoir d’appréciation discrétionnaire de l’Office des étrangers. Deux dossiers similaires peuvent ainsi donner lieu à deux décisions différentes, l’octroi d’un titre de séjour ou au contraire un ordre de quitter le territoire. Il s’agit de ce qu’on appelle le « pouvoir discrétionnaire » du secrétaire d’État, que permet un cadre légal flou.

L’arbitraire institué par la procédure de régularisation actuelle a donné lieu à de grandes différences d’un gouvernement à l’autre, dans la manière dont les demandes de régularisation étaient traitées selon le ministre en charge des compétences d’asile et de migration. Car à l’heure actuelle, l’article 9 bis, qui est la base légale de la régularisation permettrait de régulariser tout le monde, mais également de ne régulariser personne. Cette absence de règles place les demandeurs dans une situation d’insécurité permanente : il est impossible de prédire l’issue de la demande et donc, de se projeter dans l’avenir.

Face à cette absence de politique, dès le début des années 1990, un mouvement social s’est constitué et a mené de nombreuses actions pour obtenir la mise en place de critères, ce qui a finalement été le cas en 1999. La détermination de critères clairs et leur application aux dossiers introduits avait alors abouti à la régularisation de quelques dizaines de milliers de personnes. Ces critères reprenaient l’ancrage durable sur le territoire, le fait d’avoir une promesse d’embauche ou d’avoir des enfants mineurs scolarisés.

Malheureusement, la loi de 1999 ne permettait l’introduction d’un dossier de régularisation sur base de ces critères que pendant une période de 3 semaines. De nombreuses personnes n’ont donc pas pu être régularisées sur cette base.

Un nouveau mouvement s’est constitué et a mené des actions pendant les dix années suivantes, pour obtenir en 2009 de nouveaux critères, toujours temporaires et inscrits cette fois dans une instruction ministérielle, presque immédiatement annulée par le Conseil d’État. Depuis lors, le mouvement sans papiers poursuit sa mobilisation en faveur d’une vraie politique de régularisation.

30 ans de solutions-pansements, stop ou encore ?!

Tant que la Belgique restreindra de cette manière l’accès au séjour légal, des personnes se retrouveront sans papiers. Et tant que des critères clairs ne seront pas inscrits dans la loi de façon permanente, le nombre de ces personnes ira en augmentant. Les gouvernements à venir devront se positionner : choisir, comme les deux derniers, de laisser une part importante de la population dans cette situation de précarité extrême, ou prendre leurs responsabilités et choisir de régulariser la situation de séjour de ces hommes, femmes et enfants qui vivent ici parfois depuis de très nombreuses années.

Mettre en place des critères clairs et permanents de régularisation, c’est refuser l’arbitraire et l’insécurité juridique, mais c’est aussi mettre en place une solution structurelle et durable. Cela fait près de trente ans que la Belgique s’obstine à refuser une réelle politique de régularisation de séjour, et développe des solutions-pansements tous les dix ans. Pendant combien de temps encore allons-nous perpétuer ce cycle infernal ?

Pour toutes ces raisons, nous, militants, sans papiers, citoyens, collectifs, syndicats et organisations, vous donnons rendez-vous le dimanche 28 avril, à 14h à la Gare du Nord de Bruxelles, pour exiger maintenant une politique de régularisation du séjour fondée sur des critères clairs et objectifs, inscrits dans la loi et mis en œuvre par une commission pluraliste et indépendante.

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