JS

Jeunesse et Santé Hainaut Picardie organise une formation à destination des jeunes dès 16 ans.

Le monde de l’animation d’enfants de 3 à 12 ans te tente ?

N’hésite pas et rejoins nous pour une semaine de découvertes et d’apprentissages.

Au terme du cursus de 2 ans, tu auras accès à un brevet reconnu par la Fédération Wallonie Bruxelles.

Pour les trois régions, la formation aura lieu du 13 au 20 avril 2019.

www.jeunesseetsante.be

Toutes les informations :

> J&S Mons - 3 rue des Canonniers à Mons – Tél. 065/40.26.54 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

> J&S Mouscron - 8 rue Saint-Joseph à Mouscron – Tél. 056/39.15.22 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

>J&S Tournai - 44 rue Saint-Brice à Tournai – Tél. 069/25.62.67 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

ENEO1

C’est déjà la 7ème année qu'ENEO vous invite à venir partager un repas au profit des WAWE (les aînés du Sud Kivu). Au menu : apéritif et ses zakouskis, Porchetta et gratin dauphinois et en dessert, tarte et café.

Venez nous rejoindre : le samedi 9 février à partir de 12h30

À la salle « le Parvis », Grand Place, 47/2 à St-Ghislain.

Participation : 25 EUR.

Contact :secrétariat régional : 065/40.26.48 ou par courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Réservations : verser le montant sur le compte énéo BE50 7995 5021 4718 avec en communication : « WAWE + noms et prénoms des participants » pour le 31 janvier au plus tard.

Le rassemblement, ce dimanche dans les rues de Bruxelles, de 5.000 extrémistes opposés au Pacte de l’Onu sur les migrations est un moment sombre de l’histoire récente de notre pays. Comment en effet ne pas s’inquiéter de voir défiler au cœur de la capitale de l’Europe, un ensemble d’organisations d’extrême droite aux revendications racistes et aux slogans les plus abjects.

Sur les réseaux sociaux ou dans des manifestations publiques, nous assistons aujourd’hui à une dangereuse libération de la parole raciste. Celle-ci doit indéniablement être mise en lien avec le positionnement, les propos et les actes politiques initiés par la N-VA qui, durant quatre années, a donné le ton du gouvernement fédéral, particulièrement sur les questions d’asile et de migration. L’instrumentalisation et les mensonges liés au Pacte de l’Onu sur les migrations par le parti nationaliste flamand en sont une illustration parfaite. À ce titre, les partis qui ont accepté d’accompagner la N-VA au pouvoir doivent aujourd’hui assumer leur responsabilité quant à la montée des questions identitaires en Belgique.

La tenue de cette marche brune n’est pas un phénomène à minimiser. Sans réaction de l’ensemble du monde politique démocratique, le MOC craint que les thèmes nauséabonds chers à l’extrême droite gagnent du terrain. À l’approche des élections et dans une situation politique particulièrement préoccupante, il incombe à présent aux partis démocratiques d’élever le niveau des débats, d’arrêter d’alimenter les peurs et, surtout, d’apporter des réponses sociales, économiques et politiques pour que les citoyens en mal de repères et subissant les affres de l’austérité s’éloignent des tentations de vote extrémiste.

À l’instar de la Plateforme citoyenne de soutiens aux réfugiés et des nombreuses associations qui luttent contre le racisme et le rejet de l’autre, les citoyens et la société civile font leur part du travail. Au monde politique de faire le sien !

 

Christian KUNSCH,

Président du MOC

 

Nicolas ROELENS

Attaché de presse | Mouvement Ouvrier Chrétien | www.moc.be

Rédacteur en chef de Démocratie | www.revue-democratie.be

Tél : 02 246 38 10 | GSM : 0485 89 83 95 | Chaussée de Haecht, 579 | 1030 Schaerbeek

 

Le MOC a pris acte de la démission des ministres N-VA du gouvernement fédéral et du remaniement ministériel qui en a découlé. C’est donc un gouvernement largement minoritaire que dirigera le Premier ministre Charles Michel durant les prochains mois.

Les conclusions à tirer de cette séquence politique particulièrement dispensable sont nombreuses. La plus fondamentale d’entre elles concerne la totale déconnexion de cette crise politique par rapport aux réalités que vivent la grande majorité des Belges. À l’heure où les urgences sociales et climatiques exprimées par tant de citoyen.ne.s attendent des réponses cruciales et immédiates, le gouvernement MR/N-VA s’est enfermé dans des postures électoralistes qui ne grandissent pas le débat politique. Pire, les partis politiques à la manœuvre donnent l’impression d’une crise programmée qui aura pour conséquence de nourrir encore un peu plus la défiance de la population envers ses gouvernants.

Par ailleurs, s’il faut se féliciter de la signature par la Belgique du Pacte de l’ONU sur les migrations, il s’agit de ne pas être dupe pour autant quant au déroulement du psychodrame qui a précédé cette signature. Le positionnement de plus en plus extrême de la N-VA a été permis par le manque de fermeté du parti du Premier ministre envers un partenaire qui a donné le ton depuis quatre années en termes de politique migratoire. Cette course vers l’extrême droite que l’on observe chez nous comme dans de trop nombreux pays d’Europe et du monde est particulièrement préoccupante et demande une réponse forte de nos formations démocratiques. Il en va de leur responsabilité de ne pas s’embarquer dans une campagne électorale guidée par les débats identitaires.

Après quatre années d’un gouvernement MR/N-VA qui n’a cessé d’opposer plutôt que de rassembler, nous vivons dans une société abîmée et une démocratie fragilisée. Délesté de son parti le plus clivant, le gouvernement minoritaire de Charles Michel a aujourd’hui le devoir d’écouter la colère et les préoccupations citoyennes et de faire revivre la concertation sociale. Cela inclut, au-delà des mots, d’apporter des réponses claires et précises au niveau de l’urgence climatique, de la lutte contre les inégalités sociales et d’une politique migratoire enfin plus humaine. Une attention première doit être portée aux revenus et au bien-être de la population, avec une priorité pour les plus démuni.e.s et les laissé.e.s-pour-compte.

La confiance des citoyen.ne.s envers les institutions ne pourra être restaurée qu’à ce prix.  

Christian KUNSCH,
Président du MOC

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